Les agences immobilières ont la cote pour l’achat d’un appartement à Vaux-sur-Mer !

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Les agences immobilières ont la cote pour l’achat d’un appartement à Vaux-sur-Mer !

Vous envisagez d’acheter un appartement à Vaux-sur-Mer ? Vous hésitez à le confier à une agence immobilière ? À votre décharge, une agence coûte cher. 89 % des Français pensent d’ailleurs que les frais d'agence sont trop élevés (étude Ipsos novembre 2019). Et pourtant, bonne nouvelle, en cette sortie de 3e confinement, la confiance dans les agences immobilières se renforce en France. Faisons le point sur ce qu’attendent les Français en matière d’immobilier et sur ce qu’ils pensent des agences immobilières !

Selon une étude Harris Interactive, les Français montrent toujours un intérêt grandissant vis-à-vis de l’immobilier… Mais attention, ils sont encore plus exigeants lorsqu’il s’agit de leur habitat en cette année post-Covid : les Français ont en effet des attentes et des exigences plus importantes à l’heure de choisir leur logement en cette période de post-crise sanitaire. 

Quid des agences ?

La situation sanitaire ne semble avoir que peu d’effet sur l’incitation des Français à se déplacer en agence afin de mener leur projet de vie. Et d’ailleurs, 71 % d’entre eux envisagent de faire appel à un agent immobilier pour les aider dans le choix de leur logement.

Que veulent les Français aujourd’hui ?

Certains critères ont pris une importance plus grande comme l’accès extérieur, la connexion Internet, mais aussi la performance énergétique. En effet, 56% des personnes interrogées déclarent privilégier en priorité un accès extérieur (balcon, terrasse, jardin) ; 53% misent sur la connexion Internet ; et 45% privilégient la performance énergétique de leur bien immobilier. Ces différentes attentes restent prioritaires pour les femmes, les 60 ans et plus, les propriétaires et ceux qui habitent en maison.

S’éloigner de son lieu de travail pour bénéficier d’un meilleur confort de vie ? 19% ont confirmé qu’ils étaient largement incités par la situation sanitaire dans leur décision, dont 39% des 25-34 ans et 25% des Franciliens.

O.D. / MySweetProd © Adobe Stock